Nous sommes une trentaine, une belle équipe réunie par notre dynamique Michel Bonit, à attendre patiemment que le brouillard se lève. Finalement l’avion décolle et nos vacances golfiques commencent. A la sortie de l’aéroport d’Antalya deux navettes, l’une pour nous, l’autre pour les sacs de golf, nous transportent en quelques minutes à l’hôtel Cornelia de Bélek.
L’organisateur, notre ami Philippe Pourbaix, avait raison de nous vanter ce voyage. Nous le remercions de nous avoir fait partager son expérience et de nous avoir si bien conseillé dans le choix de l’hôtel et des parcours de golf.
Comment vous décrire cet hôtel ? Et bien, vous pensez à ces auberges françaises du Touquet ou autres stations balnéaires de Normandie et vous essayez d’imaginer l’extrême opposé. Oui, çà ressemble plus à un hôtel d’une chaîne dans le genre SAS, Sheraton et j’en passe…avec cependant une architecture si ingénieuse que d’un mouvement circulaire toutes les chambres entourent une longue piscine serpentant entre de magnifiques pins parasols pour se perdre au loin près de la mer.
Un jour sur deux une navette nous dépose en quelques minutes au golf de la chaîne Cornelia. Trois jours sur ce beau parcours de 27 trous, trois fois 9 trous, the King, the Queen and the Prins que nous jouerons alternativement.
Les autres jours nous profitons de la piscine, de la mer et de soins tels que sauna, hammam et massages. Le jardin d’Eden doit ressembler à ce parc où serpente des eaux bleues transparentes au travers de pelouses d’un si beau vert que les pins parasols s’y dressent comme sur un tableau de Renoir.
Le dernier jour, cerise sur le gâteau, quelques privilégiés ont joué le Montgmérie, le golf mythique de Belek. Après une sympathique mise en bouche sur la terrasse du restaurant du club, un parcours d’une grande beauté nous a tendu les bras et comme la nuit tombe à cette époque à 17 heures, le retour se joua sous les lumières. Après l’Eden, le Paradis…
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